A l’heure actuelle, il est interdit d’attribuer à un aliment des propriétés de prévention ou de traitement d’une maladie. L’industriel peut cependant utiliser une allégation fonctionnelle qui « décrit le rôle d’un élément nutritif dans les fonctions normales de l’organisme »… c’est souvent le cas des vitamines et de certains minéraux.
Il doit alors expliquer clairement en quoi l’élément nutritif est utile au consommateur et d’autre part, quantifier à travers l’étiquetage nutritionnel l’élément mentionné.
L’information nutritionnelle doit être exprimée pour 100 g ou 100 ml de produit vendu; pour les vitamines et minéraux, elle doit aussi être exprimée en pourcentage des apports journaliers recommandés (AJR). C’est AJR sont des valeurs moyennes des apports journaliers qui permettent à la majeure partie de la population de rester en bonne santé.